vendredi 30 mars 2007

Entre le rêve et le rêve, on vit dans un rêve...

 



 


On se réveille un beau matin avec l'impression de sortir d'un film, un film dont on est soit le prétagoniste soit un spectateur...


On se réveille le matin, et nous pensons encore aux rêves qu'on a fait la veille...

C'était un rêve ? Un cauchemar ? N'importe...puisque ça ne s'est passé que dans ...nos têtes...

Mais comment expliquer les rêves qui se réalisent dans la vie réelle ? Dans ce cas, peut-on dire que le rêve est notre réel et le réel n'est qu'un rêve ?

Et les cauchemars qui nous torturent pendant toute une nuit, n'est ce pas nous qui nous nous torturons ?

N'est ce pas ce manque de communication avec nous mêmes qui se manifeste à travers nos rêves cauchemardesques ?

Sinon comment expliquer le fait que nous rêvons tout en ayant les yeux ouverts ?

N'est ce pas aussi un rêve, ou tout simplement une échappatoire?

Dans tout ça, où est le rêve de la réalité ?

Peut être que mon rêve est votre réalité...

Peut être que ma réalité est votre rêve...

Ou encore, peut être qu'on rêve tous et la réalité est ailleurs...

Peut on considérer que le rêve est un signe ?

Peut on se fier à notre instinct en laissant nos rêves nous guider ?

dimanche 25 mars 2007

Chers amis, vous n'allez rien comprendre ! ! !



Je marche dans la rue, et je souris...


Je contemple les visages inconnus, je lis en eux toutes les souffrances, le désespoir qu'un jour j'ai connu...




Et puis, je revois mes amis, je touche en leurs âmes une torture qui m'était familière, un mal aise chronique...

Chers amis, un jour, j'étais comme vous, jusqu'au jour de ma résurrection...La renaissance d'un nouveau coeur...



Je vous vois de loin, comme si vous faites partie de mon passé...d'un passé lointain...


Comme si la lumière divine n'a atteint que moi...




Non...ce n'est ni de l'égoïsme, ni des délires d'une personne fébrile, mais ce qui a changé, c'est mon Coeur...



Mon Coeur n'est plus refermé sur lui-même, grâce à Dieu et grâce à mon Ange, j'ai pu enlever la poussière, les moisissures qui l'ont longtemps rongé et faire disparaître la souffrance...pour établir enfin une trêve entre moi et Venus...



Maintenant, que la paix règne, je suis plus sensible à vos joies, Ã vos désespoirs, à vos peines, je peux ressentir vos états d'âmes même à des kilomètres...



Je peux ressentir le ténèbre dont vous vivez, ou la joies dont vous êtes comblé...



Comme si j'étais aveuglée par mes propres peines, que je m'occupais que des changements de mes états d'âmes....



Maintenant, je m'ouvre à vous, avec un coeur lumineux, qui est prêt à vous écouter, à vous aider...prenez ma main...prenez la...allez...n'hésitez plus...l'ancienne Venus a disparu pour laisser place à une nouvelle...c'est la nouvelle Venus qui vous parle...allez...oui...oui...c'est ça...doucement...délicatement...on va faire un bout de chemin ensemble...



Ah toi ! Je te vois avec ton sourire moqueur, et tu te dis : « Venus sombre dans la folie »


Et toi, l'autre qui se dit : « Et ben, elle commence vraiment à délirer celle là ! ! »



Mais toi, oui toi, qui veut fermer cette fenêtre mais la curiosité te retiens toujours ici...




Je ne vous ai pas dit que vous n'allez rien comprendre ?



Et pourtant je vais mettre une suite...


Et pourtant vous n'allez pas comprendre que c'est une suite...




dimanche 18 mars 2007

Un Ange Descendu Du Ciel...

Quand le tunnel s'est refermé sur moi...

Quand la lumière du jour a disparu en moi...


Quand les ténèbres sont devenus mon seul refuge...


Quand mon coeur n'était rempli que de désespoir...



J'ai vu une main se tendre vers moi...


J'ai entendu une voix parvenant de loin...



Non...c'est trop beau pour être vrai...


Non...les Anges ne peuvent pas apparaître...m'apparaître.



Cet Ange a avancé vers moi, m'a rassuré...


Moi je n'y croyais pas encore...



Cet Ange, avec toute la douceur des Anges,


M'a parlé, m'a bercé, m'a caressé...



Cet Ange, avec toute l'innocence des Anges,


M'a aimé, m'a chéri, m'a adoré...



Cet Ange avec toute la pureté des Anges,


M'a sorti des ténèbres, m'a fait goûté le calme intérieur...


Cet Ange avec toute la bonté des anges,


M'a fait ressentir la chaleur, la chaleur du solei...



Cet Ange, avec toute la générosité des Anges,


M'a consacré tant de son temps, de son énergie, de son argent et bien d'autres choses que je suis dans l'incapacité de connaître...


 


Tout mot écrit, toute parole dite, tout geste fait pour te remercier, ne sont pas à la hauteur du mérite d'un Ange...


 


 


A suivre...



PS : spéciale dédicace à toi mon Ange Gardien...



 

vendredi 16 mars 2007

Histoire De Deux Oiseaux...(suite et fin)

Ca fait quelques jours que je n'ai pas complété la suite de l'article précédent, ce n'est ni par paresse, ni par manque de temps...





Adam et Eya ont déserté leurs nids, jusqu'à aujourd'hui...





Tôt le matin, je me suis précipitée pour voir cette fenêtre abandonnée, je n'ai trouvé que Eya, seule, triste, j'ai touché en elle cette note de désespoir dans ses chants...





Et puis, j'ai rembobinais le film de ma vie, je revoyais les évènements qui ont laissé une empreinte dans mon existence...





Cette Eya, qui était tant entourée, tant admirée, est restée finalement seule dans un nid pourri...





Cette Eya, qui a eu tellement d'amis, qu'elle ne trouvait même pas le temps de rester seule et parler avec elle-même...





Cette Eya était tellement chérie par son bien aimé, qu'elle croyait être comblée à tout jamais...








Maintenant j'entends leurs chants...ils me parviennent de loin...de très loin...non je ne vais plus continuer l'histoire, ne plus déchiffrer leur chants...cette fin me convient, cette fin est la mienne...








PS : Et toi mon ange gardien, j'essaierai d'écrire quelque chose pour toi, mais maintenant mon coeur replonge dans les ténèbres, que je ne peux plus voire la lumière vers laquelle tu m'as guidé un jour...Désolée...

mardi 13 mars 2007

Histoire De Deux Oiseaux ( 1 )...


 


Là où je travaille, il y a une fenêtre abandonnée, des oiseaux ont construit leurs nids...



Et à chaque fois que je veux faire une pause, je m'allonge un peu sur ma chaise, je lève mes yeux vers cette fenêtre, et puis peu à peu j'ai commencé à comprendre ce qui se passait là haut...



Il y avait deux oiseaux, un qui est gros et l'autre maigre, le gros je l'ai imaginé le mal que j'ai surnommé Adam, le maigre, la femelle que j'ai surnommé Eya...



Chaque matin, Adam et Eya se chouchoutent, en émettant des chants de joies...au début je ne prêtais pas oreille, mais comme s'ils m'appelaient, comme s'ils m'invitaient à rejoindre leurs danse, je commençais peu à peu à s'intéresser à cette fenêtre...



Adam, était d'un humeur très agressif, il n'arrête pas d'agresser Eya, et puis il l'a laisse seule dans le nid, il s'absente une quinzaine de minutes, il disparaît comme ça...



Entre temps Eya, reste seule dans le nid, parfois elle explore ce qui l'entoure, et parfois d'autres elle s'envole à son tour, mais ne reste pas très longtemps...



Et puis leurs histoire ne me parait plus telle que je l'ai interprété la première fois...



(A Suivre)


vendredi 9 mars 2007

Un Jour De Pluie...


Un temps grisâtre, la pluie tombe goutte à goutte, aisément, en provoquant un bruit familier...une sensation de paix m'envahit, comme si elle me berçait pour m'emmener à un autre monde...



Je m'allonge sur mon lit, je prends mon livre de chevet « amour terroriste », puff je n'en ai pas besoin de ça maintenant...



J'allume la radio, une musique techno me tape sur les nerfs...



Finalement j'ai cherché parmi mes cd, voilà un qui va s»rement avec mon humeur, des variétés de chansons françaises, Adamo, Francis Cabrel, Rock Voisine, Jacques Brel ...



J'ai plané, j'ai rêvé, je suis entrée dans une autre dimension..



Soudain, comme si une mouche m'a piqué, je veux bouger, je m'habille, et je sors...



Je marche sous la pluie, je vois les gens la fuir, l'éviter, tantôt ils courent, tantôt ils se couvrent sous un toit...moi je marche lentement, comme si mes forces m'ont soudain laché, la pluie commence à couler sur mon visage, je goûte sa douceur, comme si elle me purifiait tout mon corps et mon âme, comme si elle est heureuse de m'accueillir dans son univers, mon coeur plus vite encore, je vois plus rien, mais je vois tout...



mercredi 7 mars 2007

Histoire En Image...


Le soleil qui déchire les derniers cris de la nuit, comme si elle redonne de l'espoir à tout ceux qui vivaient dans les labirynthes de l'inconnu...

Un arbre, dréssé avec fièreté, une légère inclinaison vers le soleil, comme s'il lui chuchotait des mots secrets...

Reste à savoir, est ce l'aube, l'annonce d'une nouvelle vie ?

Ou est ce le couché du soleil, et l'annonce d'une longue nuit sans fin ?

mardi 6 mars 2007

Une Autre Personne...



Je me suis réveillée aujourd'hui avec une étrange impression d'être une autre personne, je vois tout différemment...



Je trouve un autre goût à mon café, je prends le temps à le déguster...



Je vois différemment ma mère, j'ose plus la critiquer, je vois en elle la mère tendre, dévouée, qui est prête à tout donner même sa vie pour nous voir heureux...



Je m'habille, non....plus de pantalon, une jupe sera mieux...



Une force intérieure me pousse à penser à autre chose, à ce que je suis, et ce que je veux être...



Je ne m'aime pas assez, peut être, mais j'ai trouvé la réponse à mes pourquoi, en tout cas à quelques uns...



Au travail, une autre personne qui parle, l'ancienne Venus a disparu, la nouvelle, voit la vie sous un autre angle...plus optimiste...



Non je ne suis ni amoureuse ni une promotion m'a tombé dessus, mais une voix intérieure m'a appelé, et je suis par miracle guidée vers elle, car je sais au plus profond de moi, que le bout du tunnel est si proche et que la lumière commence à effleurer mon visage sombre...



lundi 5 mars 2007

Que me reste-t-il de mes amours ?

Que me reste-t-il de mes amours ?





Que me reste-t-il des mots d'amours dites à la hâte ?





Que me reste-t-il des moments de bonheur passés à côté de tout ceux qu'un jour m'ont aimé et que j'ai aimé ?





Que me reste-t-il de vos promesses de fidélités, d'être à mes côtés pour la vie  ?





Que me reste-t-il des belles bêtises commises deux ?





Il me reste des beaux souvenirs qui me bercent aux moments de ma solitude, vos ombres qui me réchauffent quand je sens le froid s'introduit au plus profond de mon coeur...


 


Je me souviens de vous, et la nostalgie me berce,  et je remonte le temps jusqu'aux moments où mon coeur volait de joie...





Mais aussi, des blessures guéries par le temps...


Des blessures qui s'ouvrent parfois en vous croisant par hasard dans la rue...


Des blessures qui saignent quand elles savent qu'elles n'auraient pas lieu d'exister si...et si...et si...





Que me reste-t-il de mes amours sinon une belle chanson qui me berce jusqu'à  l'ivresse...