Après avoir lu les deux blogs de ma chère lili et Téméraire, j’ai décidé, pour la première fois, d’entrer dans ce petit jeu blogsphérique, à la fois amusant et révélateur de ma personnalité…
Si j'étais un film
Je "serai neuf semaines et demi" … un film considéré pour certains comme un film érotique, (à la limite vulgaire), pour d’autres, notamment moi, un film qui nous dit long sur le jeu de manipulation, de sadisme psychologique et du pouvoir de l’amour à changer la personne en quelques jours…
Un film de Adrian Lyne, avec Mickey Rourke, Kim Basinger, Margaret Whitton, David Margulies et Christine Baranski
Si j’étais un acteur
Je serai l’actrice égyptienne « Nabila Abid »… une actrice qui m’a toujours intrigué, avec son regard perçant, et sa forte personnalité qui se reflète, sans doute, dans ses rôles au cinéma…
Si j’étais un Livre
Je serai "vingt quatre heures de la vie d’une femme" ou « confusion des sentiments du même auteur, je cite Stephan Zweig…
Un auteur qui m’a impressionné par son style d’écriture et qui me laisse rêver…
Si j’étais une chanson
Je serai "Rita" de Macel khalifa, j’ai toujours les larmes aux yeux en l’écoutant…
Sinon, « Je n’ai rien oublié » de Charles Aznavour…
Si j’étais un objet
Je serai un miroir…je ne reflète que ce que j’aurai voulu que l’autre voit…
Si j’étais une époque
Je serai « le Moyen Age », et je serai témoin des plus grands bouleversements qui ont changé l’histoire…(mais entre nous, j’adore leurs costumes)…
Si j’étais un bijou
Je déteste les bijoux, surtout si c’est destiné pour séduire les hommes…mais si je suis obligée de répondre, je choisirai « bracelet de pied » (je ne suis pas sûre de son appelation), c’est moins pire que les autres…
PS : Je suis au boulot, je vais donner suite à cet article très prochainement..
vendredi 31 août 2007
samedi 25 août 2007
Mots Silencieux...
Il l'a regarda en essayant de chercher la passion d'autrefois, mais ses yeux resta figé dans le vide comme un malade agonisant...
Il a voulu lui parler du temps où ils étaient amoureux et passionnés, mais il n'a entendu que le bruit de son silence qui lui pèse lourd...très lourd…
Il a voulu la prendre dans ses bras, mais son corps était si loin…si las et si froid...
Elle, elle l'a déjà perdu, tous les mots ne peuvent plus, hélas, soigner une blessure qui saigne encore…
Elle a voulu lui dire qu'elle l'aime encore…qu’elle regrette tout…que le destin lui ait joué un mauvais tour…mais la douleur retient ses mots, l’emprisonne dans sa gorge pour la suffoquer…
Elle a voulu lui dire qu'elle pense toujours à lui, qu'il envahit toujours ses rêves, mais sa dignité la retient…
Ils restèrent des heures sur la plage… éloignés comme des étrangers, à regarder le crépuscule sans vraiment le voir, et à mettre un point final à une relation qui a duré des années...déjà...
mardi 21 août 2007
Dans les labyrinthes d’un cœur solitaire
Je l’ai toujours fui…toujours évité…pourtant ça me réjouis de le voir visiter d’autres âmes… de les voir épanouies…excitées…en en profiter d’une occasion qui ne se présente pas toujours à tout le monde…
Pourtant, ses épines les blessent souvent…ils les enlèvent, certes avec douleur, mais avec ivresse…l’ivresse des moments passés à la hâte…
Il rodait toujours auprès de moi…tantôt en essayant de me séduire… charmer avec des louanges qui font perdre la tête à n’importe quel sage, tantôt en essayant de s’imposer par surprise ou avec préavis…ainsi, on jouait ensemble au jeu du destin qui nous contrôlait malgré nous…chacun de nous sortait des cartes « périmées » prétextant qu’on est pas fait l’un pour l’autre…croyant ainsi qu’on s’évitera pour toute la vie…sans que nos chemins se croisent un jour…
Et pourtant…pourtant, il a réussi à me faire sauter de joie un jour d’été…un jour où je croyais que j’étais assez immunisée contre l’amour et contre toutes ses épines…
Je croyais que les pleurs des oiseaux m’ont assez parlé des ses labyrinthes…
Je croyais que mon armure était assez forte pour supporter les flèches de cupidon…
Je me croyais assez mûre pour être séduite par une simple voix et quelques détails près…
Mais que faire s’il a tous les ingrédients du prince charmant ?
Que faire si toutes mes exigences il a su les satisfaire ?
Quel autre prétexte retrouver maintenant ?
Quel autre chemin prendre pour l’éviter ?
L’amour commence à effleurer mon cœur…à éclairer mes yeux…à m’emporter dans des rêves sans fin…des rêves qui peuvent un jour m’être que mes destructeurs et mes démons intérieurs…
PS : spécial dédicace à mes petits oiseaux d’amour yoyo et TheMajesty à qui je souhaite tout le bonheur du monde et qui m’ont blessé avec leurs flèches de cupidon... merci de me redonner espoir…l’espoir que l’amour existe encore malgré tout…
samedi 18 août 2007
Venus Returns !!!
Mon très cher blog, je suis désolée d’avoir un jour pensée te quitter et te jeter dans la boîte à souvenir…
Je suis désolée d’avoir un jour cru que mon stylo pourra écrire un jour ailleurs que sur tes pages…
Je suis désolée de t’avoir laissée un jour vulgairement en prétendant des problèmes techniques, alors que toi tu m’as supporté quand je n’avais plus de voix pour m’exprimer, et tu as fais tout pour la faire rejaillir dans le silence de mes nuits…
Je suis désolée de te laisser seul…sans âme…sans lumière…sans amour ni tendresse…
Je suis désolée d’être aussi égoïste et prétentieuse, alors que toi tu n’as pas hésité à me tendre la main pour me relever…me ressaisir…et continuer le combat de la vie en me faisant toujours comprendre, qu’on a tous un enfant au fond de nous qui doit être dorloté, choyer, et aimé…
Je me sentais vraiment frustrée loin de toi, pleins d’articles écrits, mais je n’ai pas pu rien poster sur le nouveau, comme si ton influence me retient toujours dans tes bras, car seulement toi qui connaît les labyrinthes de mon être, la complexité de mes idées, donc toi seul qui peut lire entre les lignes…
Alors oui, je te suis revenue, fais de moi tout ce que tu veux, ton esclave certes, mais aussi ta confidente, ton âme, ta joie, ta source de bonheur, tes souries, tes larmes, tes souffrances, tes chagrins et tes blessures…
Chers amis, chers lecteurs, je suis désolée pour tout ce changement dans un si petit laps de temps, mais c’est décidé, je reste sur celui là, ma vie est là, mes souvenirs sont là…mes révoltes…mes résurrections sont à lire entre les lignes…
Voilà, maintenant je me sens beaucoup mieux, vivement la suite…
Merci à vous tous
Respectueusement
Venus
mercredi 8 août 2007
Ma Pétasse Bien-Aimée...
Il était une fois, une jolie petite fleur fanée crampait dans un vaste jardin sauvage… elle était tellement triste qu’on ne faisait plus la différence entre elle et les plantes sauvages qui l’entouraient…
Je me suis avancée vers elle, avec crainte certes, mais aussi avec toute bonté…
Je me suis avancée vers elle, avec l’angoisse d’assister à une autre agonie… son agonie… et de supporter de voir son image expirante pour le restant de mes jours…
Pourtant, je ne connaissais pas cette fleur, mais j’ai décidé d’avancer… d’essayer… d’essayer quoi ? Je ne sais pas… mais une force secrète m’incitait à avancer et à découvrir ce mystère qui l’entourait…
Je me suis approchée d’elle, je l’ai pris dans mes mains, et je me suis enfui avec elle de cet endroit barbare… pour qu’elle respire… pour qu’elle s’épanouisse… pour qu’elle vive enfin…
Je lui ai ouvert mon espace intime… ouvert mon jardin secret… donné les clés de ma boite à souvenirs… on a commencé à soigner nos blessures respectives… à pleurer de nos défaites… à rigoler de nos bêtises et à dessiner sur nos lèvres un nouveau sourire pour mieux confronter l’avenir…
Ma petite fleur a commencé à respirer la vie… à fleurir davantage… à prendre force et certitude… j’étais contente de cette métamorphose… de ce changement radical… jusqu’au jour où ?
Jusqu’au jour où j’étais à mon tour faible… incertaine et vulnérable…
Jusqu’au jour où moi aussi j’ai eu besoin d’une main pour m’arracher de l’endroit où j’étais pour m’emmener loin…
Alors, je n’ai que ma petite fleur pour m’abandonner… pour me confier et pour me soutenir..
Je me suis rapprochée d’elle pour qu’elle voie de près la douleur que je sens et les larmes qui s’accumulent dans mes yeux…mais je ne l’ai pas reconnu, elle s’est transformée en une fleur sauvage, pleine de cactus, j’ai essayé de la toucher… mais… elle m’a blessé… rigolé de mes incertitudes… s’est moqué de mes plaies… mieux encore, enfoncé davantage le couteau pour qu’elles saignent davantage…
Mon jardin secret était le sujet favori de tout les autres barbares… ma boite à souvenir est devenue le sujet d’actualité chez plusieurs de ses semblables…
Et moi, au milieu de tout cela… je n’ai pas su quoi faire… sauf l’aimer davantage… oui l’aimer… la féliciter même pour le grand rôle qu’elle a joué… elle a mérité tout mon respect… car elle a su comment entrer dans un labyrinthe et réussir à en sortir sans peine… elle a su comment éclairer des coins sombres alors que d’autres ont échoué…
Certes qu’elle est une pétasse…mais une pétasse bien-aimée…
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