mercredi 9 janvier 2008

Lorsque ....

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Lorsque le soleil de notre vie se couchera pour des heures... des jours ou une éternité...

Lorsque l'amour de ceux qu'on aime et qui nous aiment devient un point d'interrogation...des points de suspensions...des trous noirs...
Lorsque notre fenêtre qui se donne sur le jardin de la vie se ferme à doubles tours et qu'on a égaré les clés...

Lorsque nos yeux se ferment sur tout ce qui bougent....Qu'on plonge en nous même à la recherche d'une bouée de sauvetage dans l'océan de nos tourments...

Lorsqu'on perd la notion des couleurs...des visages...des images et qu'on voit tout en Noir foncé...

Là il faut se dire, que rien ne peut s'éterniser...qu'en chacun de nous il y a une lumière..même mince...une lumière qui éclaire, certes timidement, mais elle est là...elle était, et serait toujours là en nous...pour nous rappeler que quelque part en ce bas monde, il y a toujours quelqu'un pour qui on compte...à qui on peut se confier...même s'il s'est montré distant, mais il te garde toujours dans son coeur !!
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13 commentaires:

  1. Très joli ton post vannoussa, il y a beaucoup d'espoir dedans.. Et j'en suis tout à fait d'accords, et sûr qu'il y a quelqu'un qui pense à toi, même s'il te le fait pas savoir..

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  2. @ YoYo, yes ma yoyo chérie, au moment de désespoir, ces personnes ne se contentent pas des mots, mais ils agient, j'ai passé par une période difficile, et certaines personnes, ont agi d'une façon extraordinaire, sans même parfois, me le faire savoir..
    moi je me dis, que c'est grâce à Dieu sobhanou qui a mis sur mon chemins des gens preilles, au moment où on croit que tout nous échappe et qu'il n'y a plus de remède, en ces moments là, surgit la lumière dont j'ai parlé...

    Ma chère yoyo, bonne journée,
    biz

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  3. salut venus chérie, garder espoir te rester ouvert à un lendemain meilleur, certes certains mmt ssemblent dif et éternels mais avec cette lumière dt tu parle si bien tt redevient possible.
    grosse bize amicale, je t'apprécie bcp!!

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  4. @ fridka : tout d'abord bonne année , je t'embrasse très très fort, ainsi que tes petits choux :wink:

    Au fait, je me suis apercue (un peu tard peut être :roll: ) que quand on a rien, on a tout, et c'est ce qu j'ai vécu..
    A un moment donné j'ai cru que j'ai plus rien, quand, surgi de nul part, cette lueur d'espoir.. c'est indescriptible tellement c'était beau..

    Fridka, toujours un plaisir de te lire, et excuse moi de ne pas venir un peu plus souvent sur ton blog, c'est que j'ai commencé un nouveau boulot, et mon ordinateur est encore en réparation, enchallah ça sera pour bientôt
    Biz

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  5. Bonsoir venoussa tres tres belles paroles et n oubli jamais que qd on croit que on a tt perdu ou tt acqui il ya ds un petit coin du monde qqn ou qqch qui t attend avec son amitié (l amitié est la passerelle de l amour)

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  6. merci vanoussa pr ta sympathie, rabbi maak, et je te souhaite plein de courage et de réussite pr tn nouveau job, viens qd tu veux et surtt qd tu peux sur mon blog, je t'attends tjrs ma chère!grosse biz.

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  7. « O douleur ! j'ai voulu, moi dont l'âme est troublée,
    Savoir si l'urne encor conservait la liqueur,
    Et voir ce qu'avait fait cette heureuse vallée
    De tout ce que j'avais laissé là de mon coeur !

    « Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ?
    Nature au front serein, comme vous oubliez ?
    Et comme vous brisez dans vos métamorphoses
    Les fils mystérieux où nos coeurs sont liés !

    « Nos chambres de feuillage en halliers sont changées ;
    L'arbre où fut notre chiffre est mort ou renversé;
    Nos roses dans l'enclos ont été ravagées
    Par les petits enfants qui sautent le fossé.

    « Un mur clôt la fontaine où, par l'heure échauffée,
    Folâtre, elle buvait en descendant des bois ;
    Elle prenait de l'eau dans sa main, douce fée,
    Et laissait retomber des perles de ses doigts !

    « On a pavé la route âpre et mal aplanie,
    Où, dans le sable pur se dessinant si bien,
    Et de sa petitesse étalant l'ironie,
    Son pied charmant semblait rire à côté du mien !

    « La borne du chemin, qui vit des jours sans nombre,
    Où jadis pour m'attendre elle aimait à s'asseoir,
    S'est usée en heurtant, lorsque la route est sombre,
    Les grands chars gémissants qui reviennent le soir.

    « La forêt ici manque et là s'est agrandie.
    De tout ce qui fut nous presque rien n'est vivant ;
    Et, comme un tas de cendre éteinte et refroidie,
    L'amas des souvenirs se disperse à tout vent !

    « N'existons-nous donc plus ? Avons-nous eu notre heure ?
    Rien ne la rendra-t-il à nos cris superflus ?
    L'air joue avec la branche au moment où je pleure ;
    Ma maison me regarde et ne me connait plus.

    « D'autres vont maintenant passer où nous passâmes.
    Nous y sommes venus, d'autres vont y venir ;
    Et le songe qu'avaient ébauché nos deux âmes,
    Ils le continueront sans pouvoir le finir !

    « Car personne ici-bas ne termine et n'achève ;
    Les pires des humains sont comme les meilleurs ;
    Nous nous réveillons tous au même endroit du rêve,
    Tout commence en ce monde et tout finit ailleurs.

    « Oui, d'autres à leur tour viendront, couples sans tache,
    Puiser dans cet asile heureux, calme, enchanté,
    Tout ce que la nature à l'amour qui se cache
    Mêle de rêverie et de solennité !

    « D'autres auront nos champs, nos sentiers, nos retraites.
    Ton bois, ma bien-aimée, est à des inconnus.
    D'autres femmes viendront, baigneuses indiscrètes,
    Troubler le flot sacré qu'ont touché tes pieds nus.

    « Quoi donc ! c'est vainement qu'ici nous nous aimâmes !
    Rien ne nous restera de ces coteaux fleuris
    Où nous fondions notre être en y mêlant nos flammes !
    L'impassible nature a déjà tout repris.

    « Oh ! dites-moi, ravins, frais ruisseaux, treilles mûres,
    Rameaux chargés de nids, grottes, forêts, buissons
    Est-ce que vous ferez pour d'autres vos murmures ?
    Est-ce que vous direz à d'autres vos chansons ?

    « Nous vous comprenions tant ! doux, attentifs, austères,
    Tous nos échos s'ouvraient si bien à votre voix !
    Et nous prêtions si bien, sans troubler vos mystères,
    L'oreille aux mots profonds que vous dites parfois !

    Victor hugo

    Mais revoici mon préféré :
    « Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ?
    Nature au front serein, comme vous oubliez ?
    Et comme vous brisez dans vos métamorphoses
    Les fils mystérieux où nos coeurs sont liés !"

    Que la nature est dure. Que les hommes sont idiots, Que Dieu est grand. MALI

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  8. @ kahloucha ; merci kahloucha, ca me fait plaisir de revoir sur mon blog biz

    @ fridka, aya lélla, bdit nétfada, je tarderai plus pour très longtemps, alors tu va tenir bon quelques jours encore ?? :razz: , je t'adore wallah, biz ma chérie et à très bientot

    @ mali : je ne sais quoi dire, merci mali, que Dieu te garde en bonne santé enchallah, merci infiniment

    Respectueusement

    venus

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  9. J'aime beaucoup ce texte et cette façon de voir les choses...Bravo Vénus et continue comme ça.

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  10. @ dalida : j'étais entrain de lire ton blog quand j'ai reçu ta note,que je trouve d'ailleurs intéressant, ça m'a fait un énorme plaisir de lire ton commentaire..et inutile de te dire que tu es toujours la bienvenue sur mon blog :smile:
    Bonne soirée

    Respectueusement
    Venus

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  11. vannoussa, tu es sublime. Ce blog révèle une femme faite de sensibilité, de tendresse et d'un irresistible charme. Que Dieu asse que tu trouves l'amour auquel tu aspires et que tu émrites.

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  12. @ halfawine , tout d'abord, c'est avec un grand plaisir de t'accueillir dans mon petit univers, de te lire, d'avoir ton avis, et comment ? toi qui a réalisé mes rêves, et ça ne peut qu'à m'encourager davantage...

    j'espère que tu pourra me lire très bientôt sur tout un autre support, ainsi, je pourrais dire un jour que "j'ai réalisé une partie de mes rêves"

    Promis hlfa, j'y serais au rendez-vous , au croisement de mes rêves....

    je t'embrasse tendrement et amoureusement

    Respectueusement

    Venus

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  13. [...] The most wonderful time of the year. Photos: Forest floor. Photos: Petting Zoo. A propos. Action ...Venus et Moi... Lorsque ....Troubler le flot sacr© qu'ont touch© tes pieds nus. Quoi donc ! c'est vainement qu'ici [...]

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