Désespérante qu’un jour tu te blottisses entre mes bras... je t’écris cette lettre, petit oiseau, mon enfant que je n’ai pas encore eu… et que je n’aurais peut être jamais... :
Mon ange : Je t’ai tellement imaginé dans ma tête… je t’ai tellement amadoué dans mes nuits… m’épanouir à tes sourires, mourir mille fois à tes cries…
Mon amour éternel : J’ai tellement envie de te prendre un jour dans mes bras... serrer ton petit corps délicat contre le mien et sentir ton odeur exaltante…
J’ai tellement envie de te voir grandir sous mes yeux veillant et soucieux, tellement envie de t’embrasser jusqu’à t’étouffer, tellement envie de t’aimer plus que l’amour lui-même peut aimer..
Mon chou : Tu es peut être encore dans les cieux… peut être que tu ne trouveras jamais ton chemin vers mes entrailles... peut être que notre rencontre se tardera dans un autre monde..
Peut-être…
N’importe les erreurs que j’ai faites... tout va être effacé en te regardant courir vers moi et m’ensorceler avec tes mots magiques « maman je t’aime »…
« Moi aussi je t’aime petit ange… moi aussi je t’aime… sans pour autant encore te connaitre.. »
PS : Lettre à l’enfant que je n’aurai peut être jamais...
woooooooow j'y crois pas !! you've got to be kidding me ! Hier j'ai écrit une "lettre à mes enfants" que je n'ai pas encore publiée, c'est fou ce qu'on se ressemble parfois ma Venus !
RépondreSupprimerEn tout cas ravie de te lire, puisse Dieu t'offrir cet enfant que tu cherches un peu .. je te le souhaite de tout mon coeur !
@Primavera : je te crois sœurette... Puisse Dieu t'offrir tout ce que tu désires... Amen..
RépondreSupprimermerci ma chérie..
est ce seulement pour les filles !! je ne le suis pas mais je vais m'y mettre puisque l'endroit m'est familier. pourquoi tu ne le fait pas cet enfant, si sous d'autres cieux, les femmes se sont affranchies des traditions minables qui font d'elles les sex-toys des hommes s'est justement pour ne pas se sentir si désespéré, ou bien l'envie d'une part et la frustration de l'autre ne sont pas intense au point de te faire franchir une telle étape !
RépondreSupprimerje ne peux pas le faire monsieur le passant, et ce indépendamment du mariage et bien d'autres conneries...
RépondreSupprimerDésespérée, un mot qui ne devra jamais exister et il n'existe pas...
RépondreSupprimerUne bonne maman tu seras, et tu as tout le temps qu'il faudra pour dénicher le bon papa, j'ai confiance en ton choix...
Maman, je t'aime déjà, dès le moment où dans ton ventre j'ai commencé à bouger, quand je te voyais grossir et chaque mouvement la nuit te faisait souffrir. Quand de mes mains et de mes pieds je poussais, pour sortir, voir ton sourire et sentir ta main me soutenir...
Je me blottirais dans tes bras, pour te faire oublier mes bêtises que je ne cesserais de faire. Je t'aimerai dans tous tes états, tes colères quand tout te met hors de toi, et quand tu m'inondes de ton amour et de douceur par tes mots et tes gestes qui ne s'arrêtent pas...
Alors chère Venus, chère maman, ne dis jamais que tu es désespérante, je veux que tu sois MA maman, je veux que seules tes entrailles me portent. Je suis ton ange, ton ptit choux alors ne me refuse pas et fait tout ce que tu pourras pour que je sois à toi, ma plus adorable maman que j'aime... Je sais que tu le feras juste pour moi...
@illusion: fascinante comme toujours
RépondreSupprimer@venus:vu l'adorable commentaire posté par illusions (d'ailleurs c'est la 1ère fois que je remarque le "s" ) je ne repousserai pas plus loin; sauf pour le "monsieur" : ça me vieillit!
Je ne dirais plus un mot après le commentaire d'Illusions ... une seule chose, garde espoir, car sans espoir le soleil ne brille plus !
RépondreSupprimerCette forte envie d'avoir un enfant est une envie de renaître en même temps en quelque sorte. C'est une envie d'inventer, de créer ; de s'inventer et de se créer à son image.
RépondreSupprimerTu te sens prête maintenant. Un peu de patience, tout vient en son temps...
Najet
Chère Vénus, chère amie que je ne connais pas, quoi de plus naturel que d'éprouver de tels désirs, de tels sentiments, à plus forte raison quand on est une femme. Je ne vais pas cracher dans la soupe, moi qui suis père de trois enfants dont deux sont déjà presque des hommes accomplis. Dieu, on en tire beaucoup de bonheur, de plaisir et de satisfactions (la dernière en date remonte à moins d'une semaine quand j'ai assisté à la cérémonie de remise de diplômes de mon aîné). Mais, croyez-moi, que des frayeurs, que des angoisses, que des soucis, voire même que de frustrations et de désillusions aussi. Bref, il en va de cela comme de toute autre chose dans la vie. Rien n'est un bien absolu ou un mal absolu. Si je puis me permettre cette image gastronomique un peu vulgaire. C'est une sorte de buffet où l'on n'a pas le choix des mets auxquels on peut goûter. Ils nous sont distribués un peu au pif. Il y en aura toujours dans notre lot qui auront un goût exquis. D'autres seront insipides. D'autres franchement mauvais. Mais nous lorgnerons toujours avec envie en direction de ceux qui ne font pas ou pas encore partie de notre lot, pensant que ce sont les meilleurs. Le problème, c'est que, ce faisant, nous oublions d'apprécier ceux-là déjà délicieux qu'on a eu la chance d'avoir et ceux peut-être empoisonnés et empoisonnants auxquels on a échappé... Tenez ! J'ai presque été privé de cette bénédiction qu'est une vision normale (dieu merci, je ne suis pas entièrement aveugle). Vous ne pouvez pas imaginer combien ça peut vous manquer. Pourtant, j'ai eu droit à tant d'autres belles choses que j'ai appris depuis longtemps à m'en accommoder même s'il n'y a aucun espoir que je récupère ce bien un jour. Pour vous, l'espoir est heureusement bien présent. Alors, comptez vos bénédictions (count your blessings!), souriez et gardez espoir !
RépondreSupprimerBien amicalement.
A TOUS :
RépondreSupprimerTout d'abord, merci à tous pour vos interventions dans cette note, ensuite, je suis vraiment désolée pour tout ce retard, un grand empêchement qui m'a laissé loin du monde virtuel... Sur ce, je réponds à vos commentaires :
@ Illusions :
RépondreSupprimerBonsoir ma chère illusion :
Belle image que tu as décris, même si dans la vie réelle, c'est moi qui me sens bébé à tes côtés, c'est le moment, je crois, pour te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi, je me souviens quand j'étais vulnérable, à bout de fore, désespérante de vivre, mais toi tu m'as soutenu dans tout ces moments..
oui un enfant j'étais à tes côtés, une belle maman tu l'étais , et tu le restera...
merci pour tout illusions...
@ le passant : tu me connais cher monsieur... je ne dis ce mot que par respect pour la personne... et tu le sais déjà , n'est ce pas ? :p
RépondreSupprimer@ Najet : moi je peux attendre najjouta, mais le temps n'attend pas :D
RépondreSupprimervivement les vacances et à très bientôt j'espère
je t'embrasse
@ Caliméro : hmmm, garder l'espoir... c'est pas un travail aussi simple que ça, mais bon, je vais essayer :p
RépondreSupprimermerci cher caliméro, je t'embrasse
@ Tunisien : je ne vais pas vous contredire, j'imagine que c'est pas la fête tous les jours, mais avec le recul, je pense que d'avoir des enfants, c'est une sorte d'égoïsme aussi, une envie consciente ( ou inconsciente d'ailleurs) de laisser ses empreintes dans la vie, d'avoir une continuité à travers cette personne, cet petit être, qui ne le restera, d'ailleurs à jamais...
RépondreSupprimerj'avoue que depuis que j'ai posté cette note (qui a été écrite depuis presque un an sur mon ordinateur), mes sentiments, ou dois je dire, le besoin de voir un être sortir de mes entrailles , a diminué considérablement .. Est ce une prise de conscience ? est ce une lucidité ? ou est ce un désespoir camouflé en désintérêt total ? qui sait, la nature humaine est tellement compliquée...
je vous souhaite, cher tunisien, tout le bonheur du monde, ainsi la réussite pour tes trois enfants...
Bonne soirée..
ET A LA PROCHAINE NOTE....
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