Ca fait quelques jours que je n'ai pas complété la suite de l'article précédent, ce n'est ni par paresse, ni par manque de temps...
Adam et Eya ont déserté leurs nids, jusqu'à aujourd'hui...
Tôt le matin, je me suis précipitée pour voir cette fenêtre abandonnée, je n'ai trouvé que Eya, seule, triste, j'ai touché en elle cette note de désespoir dans ses chants...
Et puis, j'ai rembobinais le film de ma vie, je revoyais les évènements qui ont laissé une empreinte dans mon existence...
Cette Eya, qui était tant entourée, tant admirée, est restée finalement seule dans un nid pourri...
Cette Eya, qui a eu tellement d'amis, qu'elle ne trouvait même pas le temps de rester seule et parler avec elle-même...
Cette Eya était tellement chérie par son bien aimé, qu'elle croyait être comblée à tout jamais...
Maintenant j'entends leurs chants...ils me parviennent de loin...de très loin...non je ne vais plus continuer l'histoire, ne plus déchiffrer leur chants...cette fin me convient, cette fin est la mienne...
PS : Et toi mon ange gardien, j'essaierai d'écrire quelque chose pour toi, mais maintenant mon coeur replonge dans les ténèbres, que je ne peux plus voire la lumière vers laquelle tu m'as guidé un jour...Désolée...
Perds pas controle, lache pas prise ...sur des bonnes bases t'a débuté ...elles te permetteront de continuer...les tests nombreux soient-ils, durs apparaissent-ils ne devront jamais reformuler le sens déja choisi ...
RépondreSupprimerBonne chance ..
Cette Eya doit avoir la volonté de confronter sa réalité et refaire une novelle vie. Elle est capable de réussir. Entre ses mots on peut toujours dégager de l'optimisme.
RépondreSupprimerVénus, très bien vu. J'ai même écrit un poème sur la femelle délaissée. C'est un fait universel. Bonne lecture
RépondreSupprimerFEMME DELAISSEE
L'allégresse n'était plus son invitée.
Cloîtrée dans le silence de l’obscurité
Les dévotes doléances lui chantaient
La chanson du gouffre noir, opacité.
Une goule lui a été destinée.
L’effet de l'éphémère a su l'attirer.
Sa maigre et pitoyable épave gisait
Sur le quai d'un long obscur port déserté.
Le mal l’a brisée, preuve qu’elle a aimé
Preuve qu'elle avait cru en l’amour fané
Sertis de diamants, de gemmes avortés.
En un cruel duel qui l‘a emprisonnée.
La Vie l’entraîne vers la voie oubliée
Vers la faiblesse coupable, incrustée
Vers son dernier chant, elle qui était choyée
Dans un tourbillon où elle est dégradée.
Son ventre, histoire de l’humanité
ressent le vide de la contrariété
cries sa douleur vers l’opportunité
Son homme pour elle et pour l’éternité.
Le 3 mars 2006 . MALI
Dogme : tu sais tres bien que les rechutes sont des risques à prendre, je suis humaine, mais j'en suis sûre et certaine que je vais surmenter la crise...
RépondreSupprimerA toi de faire de meme..
Téméraire, tu as raison, preuve dans mon article suivant....merci à toi...
Mali, j'avoue que je suis restée sans mot, ca m'a touché énormement, comme si t'as réussi à entendre les non dit, à lire entre les lignes à travers tout le blog, comme si tu connaissait mes secrets...
mali, merci d'avoir partagé avec moi tes poèmes et tes pensés...
PS : Mali as tu un blog ? j'aimerai bien te lire, merci..
Merci à vous tous..
Respectueusement
Venus
Désolé, je n'ai pas de blog. J'ai été incapable de le batir. Ceci dit j'ai plaisir à publier sur le vôtre. MALI
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